Ou les petits papiers de France


===>Nouveau (Cliquez ici)<===

Faire sa généalogie

. Débuter en généalogie

. Blocages/Déblocages...

. Recherches mormons

. Internet & Généalogie

. Publier sa généalogie

. Les calendriers

. Les numérotations

. Abréviations & sigles

. Dénominations anciennes

. Actes : termes et expressions

. Organiser une cousinade


Archives

. Archives numérisées (AD)

. Conseils archives (AD)

. Caran (Archives Nationales)

. Actes notariés

. Maison/cadastre

. Militaires (Shat)

. Matricules militaires

. Archives scolaires


État civil & famille

. Formulaire demande

. Historique identité

. Naturalisations

. Enfant naturel

. Déclaration de grossesse

. Enfants abandonnés

. Livret de famille

. Mariage

. Sommations respectueuses

. Actes de Notoriété

. Empêchements/Dispenses

. Bans-Publication/Dispense

. Fulmination & Insinuation

. Divorce

. Liens de parenté

. Recensements & Élections

. Évènements/Décès en Mer


Géographie

. Cartes de Cassini

. Départements de l'empire


Régions/Traduction

. Recherches en Alsace

. Optants Alsace-Moselle

. Les «Malgré-nous»

. Calendrier Alsacien

. Trad. Allemand «Gothique»

. Latin & Généalogie

. Recherches Dom-Tom

. Affranchis. métissages


Étranger

. Allemand & Généalogie

. Recherches en Allemagne

. Recherches en Egypte

. Ellis Island émigration US

. Formulaires pour l'Italie


Religion

. Information protestants

. Baptême, Parrain, Marraine

. L'Ondoiement


Divers

. Quel logiciel choisir

. Dater une photo

. Compression de fichiers


Contact

. Courriers & Suggestions


Voir nos autres sites d'entraide
( Environ 1 million de visiteurs par an
consultent nos sites - Merci à eux ! )


©2003 France APPRILL & Serge BUSIAU
B Fichet depuis le 4 avril 2014
Déclaration CNIL no 1004871

Hébergement PhpNet 


Recherches aux archives



Généralités:


Vérifiez par téléphone les modalités d'accueil, jours et horaires d'ouverture, il faut parfois réserver à l'avance une place et un lecteur. Essayez d'y aller très tôt pour avoir une place de parking. Si le service dispose d'un site internet, étudiez les conditions de consultation, si elles sont indiquées, et imprimez le plan d'accès s'il y en a un.


Il faut savoir d'abord que se rendre aux AD, c'est un peu comme si on allait à la messe ;-)

- On parle doucement au responsable de la salle de lecture (son titre exact est « président de salle ») pour ne pas déranger les distingués généalogistes et chercheurs.

- On évite de bavarder et de rire parce qu'il y a toujours des sérieux qui n'apprécient pas.

- Malgré tout, avec un peu d'humilité, on trouve toujours des chercheurs sympathiques et serviables à qui demander une info, une aide pour manipuler une bobine, etc.

N'emportez aux AD que des photocopies et pas les originaux de vos documents, on ne sait jamais : pertes, oublis...


Certains services d'archives n'autorisent que des feuilles volantes et un crayon à papier, les ordinateurs portables et les appareils numériques sont tolérés mais sous certaines conditions.


Pour les microfilms il est possible d'obtenir une copie papier si le lecteur est aussi «reproducteur», ces appareils étant généralement assez prisés, il faut donc les réserver (à condition que la réservation soit permise).


Vous pouvez en principe photographier (sans flash) les documenrs originaux, mais le mieux est de demander auparavant l'autorisation au responsable de la salle.


Le nombre de demandes de documents aux AD est en général limité à la séance (c'est-à-dire à la demi-journée). Renseignez-vous tout de suite auprès du personnel de la salle sur le «quota» autorisé. Commencez par "éplucher" les TD, tables décennales (10 ans par 10 ans) et seulement après demandez les registres correspondants.


Un schéma papier d'arbre généalogique pour repérer rapidement vos aïeux est pratique ...


Mais si vous avez un ordinateur portable vous pourrez saisir directement (pensez à faire fréquemment une sauvegarde).



Méthodologies:


Pour le reste personnellement j'avais pris des petites fiches de couleurs différentes par grandes lignée sur lesquelles j'avais déjà noté dans un ordre systématique les infos connues et en bas de la fiche un point particulier, l'envers pour éventuellement recopier des précisions diverses ou la copie de l'acte si je ne pouvais faire une photocopie.


Surtout notez bien les références des TD, des actes et registres, en cas d'erreur cela vous évitera de tout rechercher si vous n'avez pas de photocopie ou photo surtout TOUT NOTER, les noms et prénoms des parrains et marraines, témoins, leur profession, leur domicile, etc.


Après avoir trouvé vos renseignement sur les TD, il faut récupérer la cote pour demander le microfilm, dans tous les services d'archives, il existe dans la salle de lecture un répertoire - la plupart du temps disponible sur fiches ou feuilles dactylographiées -, qui donne la cote (c'est-à-dire la référence) de chaque bobine par commune et par période; cette cote est indispensable pour faire une demande auprès du magasinier.


Commencez par le plus facile, les registres d'état civil postérieurs à la révolution, après vous passerez aux registres paroissiaux et ensuite aux autres sources : archives notariales, listes de recensements, registres matricules militaires etc.


Autrefois les contrats chez les notaires étaient fréquents même pour les gens très modestes.


Pour poursuivre voir dans la série C, les documents rôles d'imposition, la taille, capitation et vingtième. On y découvre parfois des choses et des documents étonnants avec des détails concernant nos ancêtres.


Parfois on demande un registre, manque de chance rien, d'où relevez bien tout pour une période de 10 ans dans les TD pour savoir comment continuer.


Et même si un registre ne contient pas votre ancêtre vérifiez, il y aura peut-être la famille.


En attendant vos registres, souvent les levées (ramassages des fiches de demandes de comunication) sont...ex :d'heure en heure, ne restez pas inoccupé regardez, il y a en général en consultation libre des livres, des index de ce qui existe comme sources etc...


On trouve ses Ascendants dans les registres paroissiaux ou municipaux, gardés dans les Mairies ou les Archives Départementales.


Il existe en France 2 collections parallèles de registres dits 'paroissiaux' (jusqu'à la Révolution française) et de registres dits d'état civil' (depuis la Révolution) :


L'une de ces collections - souvent la plus ancienne - se trouve dans les mairies. L'autre est conservée aux Archives départementales.


Cependant, certaines mairies ont déposé leur collection aux Archives départementales : les 2 collections se trouvent donc parfois aux AD.


Enfin, dans certains départements, ces collections ont été microfilmées par les Mormons et sont consultables sous cette forme ailleurs qu'aux Archives Départementales : par exemple à Salt Lake City et pour un prix modeste, sur commande dans les centres mormons installés dans plusieurs pays.
http://www.eglisedejesuschrist.fr/main.php?p=4


Dans les registres paroissiaux jusqu'en 1595, dans le meilleur des cas.


Il n'est pas rare de pouvoir remonter au début du 16e siècle : dans la Mayenne, par exemple, le plus ancien registre est de 1523.


Les archives notariales sont une des sources principales pour les recherches généalogiques, après l'état civil; ne pas oublier de consulter les registres du Contrôle (l'ancêtre de notre Enregistrement).


Mais il faut citer aussi presque toutes les séries d'archives conservées aux Archives départementales ! Tout dépend de l'époque sur laquelle porte la recherche, par exemple, pour les archives judiciaires, il faudra s'orienter vers la série B avant la Révolution, vers la série U pour la période postérieure (jusqu’en 1940) et vers la série W pour la période contemporaine. Voir en série Y pour les archives pénitentiaires.


La Loi française ne permet pas de consulter les registres d'Etat Civil de moins de cent ans. Ceci pour préserver la vie privée des contemporains. Un enfant illégitime, un couple divorcé, un condamné n'aimeraient pas forcément que n'importe qui puisse lorgner sans contrôle les mentions marginales des actes d'état civil.


Les registres Diocésains postérieurs à 1792 sont des archives privées : l'archiviste diocésain est en principe seul juge, sous le contrôle de son évêque, pour décider ou non de communiquer ses archives.


Cas particulier de Paris, lors de l'incendie de l'hôtel de ville et du palais de justice en mai 1871, les archives de Paris ont subi une destruction importante de l'état civil dont celle des deux exemplaires des registres paroissiaux de l'ancien régime (avant la révolution). Cependant certains registres ont été épargné pour diverses raisons et à l'aide d'autres documents (notaires, église...) on a essayé de reconstituer en partie l'état civil.


Archives de Paris
http://pdg.beziaud.org/parisgenweb/archi.htm


Les archives de l'administration communale de Paris
http://www.paris.fr/fr/culture/archives_paris/Ressources_documentaires/Archives_communales.ASP



Références:


Infos et ressources diverses au sujet des archives : AD et autres
http://www.francegenweb.org/~archives/archivesgenweb/

Les Archives départementales, les adresses, jours et heures d'ouverture, leurs sites web...
http://www.eugene-ascan.org/archdepart.php3

Réglement à l'usage des salles de lecture des archives
http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/fr/circAD/DAFad90-6.htm

Comment continuer quand on a épuisé les archives plus traditionnelles (état civil, archives paroissiales et notariat)
http://perso.orange.fr/estelle.biron/terrier.htm



Guide élaboré par GénéaPass